Il existe parfois des lignes d’une simplicité absolue qui ne payent pas de mine et qui pourtant dans le temps deviennent des atouts prestigieux. Lorsque l’on achète un canapé, comme le Lido, on ne pense que très peu à l’allure qu’il aura dans quelques années.
Nul besoin de botox pour le Salon Lido
Mais pas besoin d’imaginer dans 15 ou 20 ans, mais juste dans les deux ou trois années qui vont suivre. A la vitesse ou la mode, les styles et les goûts changent de nos jours, les objets les plus tendances du moment deviennent très rapidement obsolètes. Ainsi pourquoi ne pas se diriger vers du mobilier simple au design épuré dont le design traverserait les années sans encombre ? Le salon Lido fait parti de ces meubles justement en capacité de chambouler ces effets qui démarrent par un engouement, un renom, une popularité pour enfin atteindre l’apothéose. Mais après, l’anonymat et l’oubli prennent le dessus.
[row]Imaginez un peu que ce produit est déjà âgé de 10 ans, alors qu’en le regardant tranquillement, une impression de jamais vu s’instaure aisément. Facile de penser que ce sofa a été créé ces derniers mois ou au cours de l’année. Il est en parfaite concordance avec les attentes de bon nombre d’acheteurs. La présentation en blanc n’est pas la seule raison de ce succès. Son aspect général ressemble à une grande quantité de modèles au premiers abords. Mais le petit capitonnage sur le côté, reste sa signature, sa carte d’identité.
Il existe très peu de produits capables de traverser les années sans prendre une ride. Pas besoin de chirurgie esthétique ou de botox pour que sa jeunesse soit préservée. On doit cette qualité à une usine Italienne, nommée Rosini Divani. Elle exergue dans cette capacité à entrevoir les grandes lignes de demain et d’après demain. Elle est pour cette raison souvent copiée. Mais soyons honnête, parfois des ratés existent et des modèles tournent pendant une année avant de disparaitre complétement. Car même avec plus de cent ans d’expérience, prédire l’avenir reste un pari audacieux et incertain. Cette explication appuie le principe selon lequel les fabricants tente de prendre le contre pied en créant les tendances et en forçant leur appropriation par les consommateurs.